M1, M2, M3…Go !
En 2020, Apple a annoncé commencer à produire ses propres puces pour ses MacBook, plutôt que de dépendre des processeurs d'Intel. Cinq mois plus tard, apparaît la puce M1 (les MacBook Pro M1 et MacBook Air M1). Elle a été suivie par la M1 Pro, la M1 Max et la M1 Ultra. Vient ensuite la série M2 (MacBook Pro M2 et MacBook Air M2) avec ses propres versions Pro, Max et Ultra. Fin octobre 2023, la série M3 est arrivée avec les M3, M3 Pro et M3 Max.
Chacune de ces séries de processeurs intègre la plupart des composants d'un système informatique, ce qui permet d'accroître les performances tout en réduisant la consommation d'énergie dans un espace physique réduit. Ces processeurs sont donc parfaits pour les appareils portables, mais ils sont moins faciles à réparer, car tout est intégré dans une seule pièce.
Ce qui les différencie, ce sont leurs performances, qui dépendent de la manière dont ils sont conçus et organisés : structures différentes, nombre différent de transistors, nombre différent de cœurs pour les diverses fonctions et composants, quantités différentes de mémoire (par exemple, le M1 commence avec 16 Go de mémoire sur la puce, tandis que le M2 commence avec 24 Go), et ainsi de suite.
En fin de compte, le M2 est plus rapide que le M1 (qui était la première génération) et le M3 est plus rapide que les deux. Dans chaque série, la puce du modèle de base est la moins puissante, suivie de la Pro, puis de la Max et, le cas échéant, de l'Ultra.
La série M2 étant la plus utilisée dans les gammes MacBook Air et Pro, nous nous concentrerons sur elle.